
Résumé du jour
Aujourd’hui est un peu spécial. Ce matin, il fait 13°, il
pleut, le seul restaurant ouvert lundi et mardi fait dans les
sorties de sociétés pour la période creuse, les autres sont fermés
ou n’ouvrent pas avant mercredi, demain. Donc je suis quand
même mon planning. En direction vers un point de vue où de
charmants moutons me tiennent compagnie. Un moment d’émotion
quand une maman appelle son petit pour lui donner son lait et où le
petit bouge sa petite queue comme un chien qui est
heureux. Les bolets me narguent tout le long de la
journée. Du point de vue, je peux voir une partie de mon
parcours de demain, cool, ça a l’air sympa. En route pour la
visite de mon seul musé que je vais voir dans ce voyage. Mais
voilà, c’est un grand chantier et donc fermé. Bon au suivant,
un point de vue sympathique, mais il pleut et je découvre la vraie
nature de ce « Park National » une vraie usine à
fric. Mais en voyant l’alignement des sapins ça ne m’étonne
pas. Sur une photo, on se croirait en pleine guerre. Sur
une autre, on voit les 3 générations. Ceux qui vont mourir,
ceux qui espèrent et ceux qui ne comprennent pas le car trop
petit. Dans une autre photo, on voit la fin d’une bataille
avec les restes et les classer « à recycler ». Mais à la fin,
on voit où ça finit, broyer en petit morceau ou même ça maman ne
reconnaîtrait pas ces petits. Ça me rappelle étrangement un
événement du 20e siècle et je ne pensais pas qu’une forêt soit un
prétexte à une telle boucherie. Ok il y a le tourisme, Ok, il
y a les animaux sauvages, Ok, il y a la survie d’une région, mais
bon ce n’est pas beau. Je continue ma montée vers ce point de
vue qu’aucun GPS ne veut reconnaître. Il pleut et mes
appareils sont au sec. Mais voilà, j’entends un galop et une
bête gigantesque me passe devant, j’ai mis une photo de la bête,
mais une photo d’une photo, et comme la forêt de feuillus est
barricadée, ça aussi faut que l’on me l’explique, le cerf, oui un
grand et beau cerf longe cette barrière de métal. Mais
impossible de le suivre, ni de le rattraper. Décourager, je
redescends et me dirige vers un restaurant au bord du lac, mais
voilà, il est fermé. Alors je pars en mode « perdition
spontanée » et je tombe sur la forêt de nos sapins de
Noël. Aaaa une autre future boucherie. Je pars faire
un challenge, trouvé un lac perdu dans la forêt. J’utilise la
méthode Droite, Droite pour ce pas me perdre et tombe sur ce beau
lac avec une petite cascade. La méthode Gauche, Gauche me
ramène à la voiture. Je vais voir les deux grands lacs de la
région, le lac « Oksso » et le lac
« Madum So ». Sur un chemin dans les bois, une
petite grenouille est venue me saluer pour me dire qu'elle adorait
la pluie. Ben voyons il manquerait plus que les petits se
moquent des plus grands. Il y a plein de cités de
fourmis. À croire quelle font la paix dans cette
région. J’ai testé mon tenu anti-froid et anti-pluie avec
succès. Demain, je peux entamer mon trekking avec un espoir de
voir des cerfs et autres animaux des bois. Mais plus de
reinettes, car il n’annonce pas de pluie. Ce sera ma
revanche.
Visite du jour
Visitie de la forêt en voiture est des lacs
d'Oksso et Madum So
Hingbæk Limestone
Hingbæk Limestone est une zone maintenant minée
sous Rold Skov, au nord du Jutland, non loin des
villages Rebild, Gravlev et Oplev. Les
mines, qui font partie du Centre Rebild, ont été acquises par
le sculpteur Anders Bundgaard en 1905. En 1926, le
fils Christian Bundgaard a commencé une véritable
exploitation minière de calcaire
à Thingbæk. L'exploitation minière a cessé en raison du
manque de rentabilité à la fin des années 1940 et au début des
années 1950. Il a été ouvert aux visiteurs depuis 1935, et
abrite également le Musée Bundgaard. Ici,
Anders Bundgaard a mis en place une série de modèles de
gypse dans les couloirs, entre autres choses. Cimbres
Bull. En outre, un certain nombre d'œuvres de son collègue
Carl Johan Bonnesen sont exposées. Comme les autres
mines de calcaire qui subsistent, Thingbæk Limes possède
une grande chauve-souris de chauve-souris. Comme les
chauves-souris dans la nature disparaissent, ces mines deviennent
de plus en plus importantes pour la survie des chauves-souris au
Danemark.
Mes
photos
Mes liens